Remarques méthodologiques :
- Cette carte porte essentiellement sur des marques territoriales transversales, c’est-à-dire portant sur plusieurs marchés
- Quelques marques spécifiques à des marchés précis (économie, tourisme, aménagement) ont été incluses du fait de leur notoriété
- Les marques d’institutions ont été exclues à quelques exceptions près lorsqu’elles distinguent le positionnement de l’institution de celui du territoire
- La marque des Parcs nationaux de France a été ajoutée (Elle concerne 11 parcs dont 8 en métropole et 3 en outre-mer)
Elle remplace celle publiée en février 2022 C’est toujours un « exercice délicat » et encore plus cette année où j’ai opéré un travail en profondeur pour construire cette nouvelle carte. J’en profite pour remercier celles et ceux qui me tiennent régulièrement informé sur ce sujet.
Comme d’habitude, j’ai retenu des marques territoriales qui adressent au moins à 2 marchés mais en élargissant la liste des marchés potentiels : économie, tourisme, résidentiel (dont talents), consommateurs (« made In »). J’ai aussi gardé ou inclut des marques de fait lorsqu’il s’agit d’opérations d’aménagement ou de centres villes qui s’adressent explicitement à plusieurs publics, des entreprises et particuliers par exemple. Ceci explique la présence de marques de certains EPA. Enfin, j’ai exclu des marques trop marquées par un segment qu’il s’agisse de tourisme ou d’économie.
Quelle comparaison faire entre cette carte et celle de 2022 ?
- 17 marques territoriales ont disparu
- 23 marques ont été ajoutées dont 3 liées à des opérations d’aménagement emblématiques
- 17 marques ont été retirées car trop spécifiques à un marché (tourisme ou économie)
Compte tenu de ces ajustements méthodologiques, on peut dire que, sur une base comparable, le nombre de marques territoriales d’attractivité est resté stable ces 13 derniers mois.
Il y a de grands absents sur cette carte : les Outre-mer (Guadeloupe, Guyane, La Réunion, Martinique, Mayotte, Nouvelle-Calédonie, Polynésie Française, Saint-Barthélémy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, TAAF, Wallis-et-Futuna). J’ai effectué un travail de recensement mais je crois qu’il faut que j’adapte la méthodologie compte du poids important du tourisme dans l’attractivité des Outre-mer. Je compte vous faire une proposition d’ici l’été.